Added on 26 May 2011
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LIPIDE OVERDOSE (Texte : Roro / Musique : Alain)
T'as essayé tant de régimes, Pourtant c'était pas de la frime, Tu voulais maigrir et c'est tout, Tant pis, t'es née dans le saindoux !
Des biberons de chocolat, Presque pur et sans tabac, Auront eu raison de ta ligne, Moi je le sais, c'était un signe !
Laisse moi nager dans la graisse, Me perdre à explorer tes fesses, Tes gouffres spéléologiques, Et tes sommités volcaniques !
II me faut trois jours à vélo, Pour faire le tour de tes lolos, Et pour atteindre tes sommets, A mains nues, c'est pas du p'tit lait !
Et quand tu t'étais entaillé Un doigt, t'as même pas saigné, Mais t'as perdu dans la cuisine, Dix-huit kilos de margarine.
Quand je te rentre dans le lard, Et que j'arrive par hasard, A satisfaire tes chaleurs, Pas besoin d'ajouter du beurre !
L'autre soir après la répète, J'ai voulu te faire ta fête, Mais j'ai égaré dans un pli, Ma guitare et mes deux amplis !
Mais quand tu me prends dans tes gras, Et que tu me parles tout bas, Bien sûr ça me fait quelque chose, J'étouffe, et c'est l'apothéose !
Du haut de tes dix mégatonnes, Quand tu m'écrases et t'abandonnes, Je ne peux pas prendre la fuite, Et je meurs sous la cellulite !
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Lipide overdose
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LIPIDE OVERDOSE (Texte : Roro / Musique : Alain)
T'as essayé tant de régimes,
Pourtant c'était pas de la frime,
Tu voulais maigrir et c'est tout,
Tant pis, t'es née dans le saindoux !
Des biberons de chocolat,
Presque pur et sans tabac,
Auront eu raison de ta ligne,
Moi je le sais, c'était un signe !
Laisse moi nager dans la graisse,
Me perdre à explorer tes fesses,
Tes gouffres spéléologiques,
Et tes sommités volcaniques !
II me faut trois jours à vélo,
Pour faire le tour de tes lolos,
Et pour atteindre tes sommets,
A mains nues, c'est pas du p'tit lait !
Et quand tu t'étais entaillé
Un doigt, t'as même pas saigné,
Mais t'as perdu dans la cuisine,
Dix-huit kilos de margarine.
Quand je te rentre dans le lard,
Et que j'arrive par hasard,
A satisfaire tes chaleurs,
Pas besoin d'ajouter du beurre !
L'autre soir après la répète,
J'ai voulu te faire ta fête,
Mais j'ai égaré dans un pli,
Ma guitare et mes deux amplis !
Mais quand tu me prends dans tes gras,
Et que tu me parles tout bas,
Bien sûr ça me fait quelque chose,
J'étouffe, et c'est l'apothéose !
Du haut de tes dix mégatonnes,
Quand tu m'écrases et t'abandonnes,
Je ne peux pas prendre la fuite,
Et je meurs sous la cellulite !
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